Galop de l'invitation au voyage de Christiane Oriol | Le serpent d'Eric Bleuzé accompagné musicalement par Olivier Delgutte |
Si vous voulez partir en voyage jusqu'au fin bout du monde, nous allons poursuivre les nuages, voir si la terre est ronde. préparez-vous car je vous emmène Si vous voulez partir en voyage Vous allez contempler des merveilles Si vous voulez partir en voyage Je vous promets la grande aventure, Si vous voulez partir en voyage
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Un serpent à sonnette s'inquiétait de savoir si pour son dessert Une biscotte suffirait ou s'il s'enfil'rait cinq ou six éclairs Faut dire que depuis quelque temps Ah, ah ya ya quel tracas Sa santé lui causant tant de souci "Je cesse de sucer des bonbons Lui qui était aussi gros qu'une contrebasse Une colonie de fourmis
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Une seule vie de Gérald De Palmas | J'en rêve encore de J.J Goldman et G De Palmas |
Marcher dans le sable Se sentir coupable Dans les herbes hautes C'est sûr tout est de ma faute Savoir dire tant pis Il faut que quelqu'un m'aide Faire comme tout le monde Il faut que quelqu'un m'aide Inquiet, soucieux, honnête jour et nuit
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Encore un effort Quelques mois suffiront Je suis presque mort Quelques mois et c'est bon Supprimer les traces la moindre trace Et même si je m'améliore Ne plus rien sentir, Et même si je m'améliore Vivant mais mort Et même si je m'améliore
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Dans le cadre de la recherche d'indices,
cette chanson parle de culpabilité (celle à propos de la mort de son
meilleur ami, Enkidou), de la quête du "remède" car il n'a
qu'une seule vie, la mort l'obsède, ( ce remède peut être ce qu'il va
chercher chez Outa Napishti pour espérer devenir immortel). Enfin, l'avant-dernier couplet qualifie désormais notre héros, à l'opposé de ce qu'il fut lorsqu'il n'avait pas peur de la mort. |
Cette chanson intervient à la mort de
Enkidou. Gilgamesh est désemparé, sa vie n'a plus de sens, il est de
marbre, prosterné, plongé dans ses rêves... Il n'a plus de désirs, se désintéresse de ce qui le glorifiait jadis. Tout lui est égal, rongé par les remords, Gilgamesh n'est plus qu'un corps... presque mort! |
Trop tard de Gérald De Palmas | La vie Théodore d' Alain Souchon |
J'ai fermé toutes les portes, Eteint la lumière Pensé à toi très fort, assis par terre Et moi qui étais sûr que tu étais IMMORTEL Aujourd'hui c'est si dur, Moi en bas, toi au ciel Trop tard pour te le dire, tu es parti Mes souvenirs m'entraînent Mais c'est trop tard Et quand on devra t'ensevelir Trop tard pour te le dire, tu es parti
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On s'ennuie tellement On s'ennuie tellement On s'ennuie tellement On s'ennuie tellement Alors la nuit quand je dors Je pars avec Théodore Dehors, dehors, dehors, dehors... Marcher dans le désert Dormir dehors Il faut un minimum Si loin de la nature ici Alors la nuit quand je dors Si loin de la nature ici Il faut un minimum |